Les phares du Cap-Fréhel

Les phares du Cap-Fréhel

Les phares du Cap-Fréhel, l’actuel et le premier appelé « phare Vauban » mis en service en novembre 1702. Un deuxième phare fut mis en service en 1847 et dynamité par l’armée allemande le 11 aout 1944. Le phare actuel a été mis en service le premier juillet 1950.

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Sur le GR34 à l’approche du Cap-Fréhel.

Sur le GR34 à l'approche du Cap-Fréhel

Sur le GR34 à l’approche du Cap-Fréhel on aperçoit les deux phares. L’ancien, à gauche, est appelé phare Vauban. Le nouveau, à droite, qui est le troisième, le deuxième ayant été détruit le 11 aout 1944 par l’armée allemande.

La petite tour qu’on aperçoit au bout du cap est non pas un ancien phare comme le pensent certains mais une corne de brume.

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Phares du Cap-Fréhel

Le phare du Cap-Fréhel au coté de son ancêtre le « phare-Vauban » construit par l’ingénieur Siméon Garangeau et allumé pour la première fois en novembre 1702.

Phares du Cap-Fréhel
Phares du Cap-Fréhel

Le phare actuel est le troisième, son prédécesseur allumé en 1847 ayant été dynamité par l’armée allemande le 11 aout 1944. Seul le phare Vauban est resté debout et reprit donc du service jusqu’au premier juillet 1950, date à laquelle le phare actuel fut mis en service.

La citadelle de Palais

La citadelle de Palais à Belle-Île-en-Mer, domine la commune de Palais. Elle est localement nommée citadelle Vauban.

La citadelle
La citadelle

Ce fort a défendu l’île contre les pirates, les Espagnols et surtout les Anglais en 1683. Il a été agrandi par les ducs de Gondi de Retz, puis par le surintendant Fouquet qui en a fait une citadelle. Sa double enceinte, ses puissants bastions d’angle, ses dehors portent la marque de Vauban, qui y séjourne en 1683, 1687 et 1689. Assiégée à la fin de la guerre de Sept Ans, la citadelle tomba en 1761 entre les mains des Anglais qui occupèrent toute l’île jusqu’au traité de Paris de 1763.

Il a aussi servi de prison aux douze complices de la Voisin, compromise dans l’affaire des poisons, ainsi que du fils de l’homme politique haïtien Placide Toussaint-Louverture. Abandonné par l’armée, il a été vendu en 1960 et entièrement restauré par deux particuliers, M. et Mme André Larquetoux.

Source : Citadelle de Belle-Île-en-Mer