Le fort du Petit Bé

Le fort du Petit Bé

Le fort du Petit Bé a été construit au XVIIe siècle. Il faisait partie d’une ceinture défensive conçue par Vauban et destinée à protéger la ville de Saint-Malo d’attaques des escadres ennemies anglaises ou hollandaises.

Propriété de l’armée française jusqu’en 1885, il est ensuite déclassé et redonné à la ville de Saint-Malo. Il est classé au titre des monuments historiques par arrêté du 29 octobre 1921, mais est délaissé jusqu’en 2000, année où la ville signe un bail avec une association pour sa rénovation et son ouverture au public. Il peut se visiter à marée basse.

Le fort du Petit Bé dans la baie de Saint-Malo

Le fort du Petit Bé dans la baie de Saint-Malo

Le fort du Petit Bé dans la baie de Saint-Malo.

Ce fort a été construit au XVIIe siècle. Il faisait partie d’une ceinture défensive conçue par Vauban et destinée à protéger la ville de Saint-Malo d’attaques des escadres ennemies anglaises ou hollandaises.

Cette ceinture comprenait également le fort National, le fort Harbour, le fort de La Conchée ainsi que les forts de Cézembre et de la pointe de la Varde, aujourd’hui détruits et les remparts de la ville elle-même.

Fort Sarah-Bernhardt

Le Fort Sarah-Bernhardt à la Pointe des Poulains à Belle-Île-en-Mer, Morbihan, Bretagne.

Fort Sarah-Bernhardt

Le fort Sarah Bernhardt est un fortin militaire du XIXe siècle de Belle-Île-en-Mer dans le Morbihan en Bretagne, où la célèbre comédienne française Sarah Bernhardt (1844-1923) passe ses vacances d’été durant 30 ans, entre 1894 et 1922. Il est transformé en musée Sarah Bernhardt dans les années 2000. Propriété du conservatoire du littoral, le fort est inscrit aux monuments historiques depuis 2000, et labellisé Maisons des Illustres en 2011.

Source : Wikipédia Fort Sarah-Bernhardt

Le Fort National de Saint-Malo

Le Fort National a été construit sur le rocher de l’Islet. Ce roc était, avant la construction du fort, l’emplacement d’un phare pour guider les navires dans la baie rocheuse de la cité corsaire, mais aussi le lieu d’exécution de la Seigneurie malouine. La construction commencera en 1689 et durera jusqu’en 1693. Mêlant utilité et efficacité sans abîmer le rocher, la construction de Vauban est un exemple vivant de son génie. Le fort ne sera jamais pris de son histoire, mis à part pendant la Seconde Guerre mondiale pendant laquelle il devint prison allemande, où plus de 300 Malouins et étrangers furent enfermés dans des conditions très rudes. Dans la nuit du 9 au 10 août 1944 notamment, alors que la vieille cité corsaire se consumait sous les bombes alliées, 18 de ces prisonniers furent tués par les obus de la 3e armée américaine. Une plaque commémorative dans le fort honore aujourd’hui leur mémoire.

Le Fort National
Le Fort National

À travers son histoire, le fort fut l’objet d’une décision du Roi-Soleil, d’une réalisation de Vauban, il fut un lieu de duel pour le célèbre corsaire Robert Surcouf. L’histoire raconte que Surcouf, sur la pelouse du Fort National, terrassa ses 11 premiers adversaires, tranchant simplement la main du 12e en lui déclarant « Je vous épargne monsieur, car il me faut un témoin ». Le fort participa activement à la défense de la cité lors de l’attaque anglaise de 1693. Il fut enfin une geôle allemande. Cette longue histoire en fait un monument définitivement lié à la vie de Saint-Malo.

Source : Fort National