Sur le GR34 à l’approche du Cap-Fréhel.

Sur le GR34 à l'approche du Cap-Fréhel

Sur le GR34 à l’approche du Cap-Fréhel on aperçoit les deux phares. L’ancien, à gauche, est appelé phare Vauban. Le nouveau, à droite, qui est le troisième, le deuxième ayant été détruit le 11 aout 1944 par l’armée allemande.

La petite tour qu’on aperçoit au bout du cap est non pas un ancien phare comme le pensent certains mais une corne de brume.

Plus de détails sur leur histoire ici

Phares du Cap-Fréhel

Le phare du Cap-Fréhel au coté de son ancêtre le « phare-Vauban » construit par l’ingénieur Siméon Garangeau et allumé pour la première fois en novembre 1702.

Phares du Cap-Fréhel
Phares du Cap-Fréhel

Le phare actuel est le troisième, son prédécesseur allumé en 1847 ayant été dynamité par l’armée allemande le 11 aout 1944. Seul le phare Vauban est resté debout et reprit donc du service jusqu’au premier juillet 1950, date à laquelle le phare actuel fut mis en service.

Les deux phares du Cap Fréhel

Les deux phares du Cap Fréhel : Le vieux (à gauche sur la photo) et l’actuel.

Les deux phares du Cap Fréhel
Les deux phares du Cap Fréhel

Le vieux phare (ou tour Vauban), en granite, fut construit sous Louis XIV en 1701 par un des disciples de Vauban, Jean-Siméon Garangeau (1647-1741), qui est nommé « ingénieur en chef et directeur des fortifications de Saint-Malo » en 1691 et le restera jusqu’à sa mort.

Un phare plus moderne et plus haut sera construit entre 1845 et 1847, à la place de l’actuel. Il est électrifié en 1886. Les troupes allemandes le détruiront en août 1944.

Le phare actuel, reconstruit à partir de 1946, sera inauguré en 1950 : haut de 32 mètres, sa lanterne domine la mer de 103 mètres. Par temps clair, son feu est visible à plus de 100 kilomètres.

Source : Cap Fréhel